3 décembre 2005
Ou la religion marchande avoue finalement ce qu'elle doit à dieu et lui rend la pareille
SPN n° 8 : Un siècle après la séparation des Eglises et de l'Etat, pourquoi ne pas s'inspirer des nouvelles règles de régulation des marchés pour créer, en France comme ailleurs, les conditions réglementaires et concurrentielles d'une véritable libéralisation des religions ? L'ouverture de ces différents marchés et l'abolition de leurs monopoles publics respectifs pourraient être, par analogie, riches d'enseignements — à condition de toujours garder à l'esprit qu'une religion n'est ni une marchandise ni un service. Charles de Laubier, dans Le Monde, le 1 décembre 2005.
Publicité
Commentaires