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L'ECOEUREMENT littérature bd politique cinéma art
29 septembre 2006

sa consommation, une accumulation formelle et

sa consommation, une accumulation formelle et sans contenu où l'être oublie son statut mortel : Homme sans qualité qui redécouvre toujours trop tard combien l'existence n'est qu'un bref passage à travers une assez courte unité de temps. Aucune verte jeunesse n'a duré toujours : le temps réel n'est pas cumulable - s'il est donné, c'est encore seulement dans la mesure où il écœure de l'espace de son passage irréversible : tectonique saisonnière où la rencontre est un été brûlant au cœur duquel se consument les "ego". L'écœurement est aussi bien cet affrontement destructeur et son issue, un potlatch des "étants-je" et l'interformation qui en découle. En sorte qu’on saisit bien déjà comment les modalités d’une "économie" du don sans exigence de retour sont en même temps les modalités mêmes qui m’offrent toujours encore comme dans l’amour à cette interformante possibilité d’éprouver l’autre.

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