29 septembre 2006
L'écoeurement - chap 1 : alors la révolution
[cf : écoeurème 07] toute penséerévolutionnaire qui ne commencerait pas par dire qu’elle a pour volonté première d’abolir l’argent devrait être immédiatement considérée comme pensée pseudo-révolutionnaire qui continue toujours encore de rouler pour le capital. Quant à moi, c’est fait. S'impose aussitôt néanmoins la précision suivante : si la révolution nous semble aujourd'hui à ce point essentielle, c'est moins par amour de ce qu'elle pourrait encore contenir d'un "prophétisme romantique" dépassé que par l'impérieuse nécessité de maîtriser la chute de ce qui agonise déjà : le capitalisme. Rien ne viendra plus sauver un système entré dans sa crise finale depuis au moins trente ans.
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